Dominique Strauss Kahn
Que s'est-il passé le samedi 14 mai 2011, entre midi et 16h45, dans la suite 2806 du Sofitel de New York ? Cette question a tenu en haleine le monde entier pendant des semaines. Seules 3 personnes au monde connaissent la réponse : Dominique STRAUSS-KAHN, Nafissatou DIALLO, et votre serviteur – le Professeur MÉGABAMBOU.
On a accusé ce pauvre DSK de toutes les horreurs et perversions imaginables. Aucune médisance ne lui a été épargnée. Son cas est entendu : il est accro au sexe et devrait se faire soigner. On a accusé la plaignante de machination, d'extorsion de fonds.
La vérité est pourtant plus surprenante encore, et elle va vous être révélée ici même. Maintenant. Sans plus attendre.
Pour comprendre, revenons quelques années en arrière (2007). DSK est invité sur le plateau d'une émission de Canal+. Une des chroniqueuses a trouvé amusant d'utiliser le Personal Marabouts Generator du Professeur MÉGABAMBOU pour produire un flyer au nom de DSK, et elle lui en fait cadeau, pour le fun. C'est ce geste anodin, passé inaperçu sur le moment* qui, quelques années plus tard, de fil en aiguille, va entraîner la chute du favori des sondages, et causer un véritable séisme politique.
* sauf pour le webmaster de megabambou.com qui a remarqué une pointe de trafic inhabituelle
M. STRAUSS KAHN lors d'un anniversaire au cours duquel des surprises magopinaciophiles lui avaient été réservées, comme ce flyer géant, ainsi que le poster qu'on aperçoit en arrière-plan.
Car, d'abord intrigué par le petit papier tendu par la journaliste, DSK va lentement glisser vers l'addiction magopinaciophile caractérisée. Il veut des flyers, il en a besoin. D'abord un peu, puis plus, puis toujours plus, jusqu'à l'obsession.
En plateau, c'est une femme qui lui a tendu le précieux objet, le premier de sa collection, le catalyseur de toute cette frénésie. Une femme. Aussi, au fur et à mesure du glissement vers la démence magopinaciophile, une équation va bientôt germer dans l'esprit de DSK : FEMME = FLYER.
Dès lors, de façon purement irrationnelle, DSK soupçonnera toute personne du sexe féminin de cacher sur elle des flyers de marabouts. Peut-être des flyers rares, qu'il n'a pas encore dans sa collection. Peut-être des pièces très anciennes, d'une valeur inestimable. Bref. DSK ne peut rester dans le doute. Il doit savoir. Il ne peut pas se maîtriser. Et il en vient parfois à perdre le self-control que lui imposent ses fonctions officielles, uniquement pour assouvir sa passion dévorante pour les petits papiers maraboutiques.
Alors que s'est-il passé le samedi 14 mai 2011, dans la suite 2806 du Sofitel de New York ? Non, DSK n'a pas souhaité faire subir les derniers outrages à cette pauvre femme de chambre. Simplement, il a voulu s'assurer que la demoiselle n'avait pas sur elle quelque spécimen introuvable. Elle aurait pu le cacher n'importe où, évidemment, d'où la nécessité d'une fouille très approfondie (souvenez-vous où Britney Spears et Madonna cachent leurs flyers...). S'il l'a agneouillée devant lui, c'était uniquement pour pouvoir chercher dans sa chevelure.
Il est navrant de voir que l'ex-président du FMI ait choisi tout simplement de se taire. Il a préféré passer aux yeux du monde pour un pervers plutôt que confesser sa passion ! Il a accepté de subir l'opprobre publique, plutôt que d'expliquer au monde l'origine de son comportement apparemment déviant : une magopinaciophilie mal gérée et devenue pathologique. Si seulement il avait parlé, il aurait pu faire progresser la noble cause magopinaciophile – ô combien !